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LE «NOM DE DIEU» DANS LA LITURGIE CATHOLIQUE ROMAINE

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Message par Invité Dim 6 Mar - 8:41

LE «NOM DE DIEU» DANS LA LITURGIE CATHOLIQUE ROMAINE
Le 29 juin 2008, le Cardinal Francis Arinze, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, adressait aux conférences épiscopales une lettre sur l'usage du Nom de Dieu (YHWH) dans le culte liturgique catholique romain. Réagissant à la «nouvelle pratique» de prononcer ce nom (ce dont s'abstient la communauté juive), le préfet rappelle qu'il doit plutôt être traduit dans chaque langue, comme l'ont fait autrefois les traductions grecque (la Septante) et latine (la Vulgate). Bien qu'elle ne soit pas adressée directement à la communauté juive, cette directive peut aussi être comprise comme un signe de respect envers elle, d'où l'intérêt de la porter à l'attention des personnes et groupes engagées dans le dialogue entre juifs et chrétiens.1

CONGRÉGATION POUR LE CULTE DIVIN ET LA DISCIPLINE DES SACREMENTS
Prot. N. 213/08/L
LETTRE AUX CONFÉRENCES ÉPISCOPALES CONCERNANT LE « NOM DE DIEU »
Éminence, Excellence,

En réponse à une directive du Saint Père, en accord avec la Congrégation pour la doctrine de la Foi, la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements estime qu'il est pertinent de communiquer aux conférences épiscopales quelques précisions et directives concernant la traduction et la prononciation, dans un cadre liturgique, du Nom divin signifié dans le tétragramme sacré.

I – Exposé

1) Les paroles des Saintes Écritures contenues dans l'Ancien et le Nouveau Testament expriment une vérité qui transcende les limites imposées par le temps et l'espace. Elles sont la Parole de Dieu exprimée en paroles humaines. À travers ces paroles de vie, l'Esprit Saint introduit les fidèles dans la connaissance de la vérité tout entière et ainsi le Verbe du Christ vient habiter chez les fidèles dans toute sa richesse (voir Jean 14,26; 16,12-15). Pour que la Parole de Dieu, inscrite dans les textes sacrés, puisse être conservée et transmise d'une manière intégrale et fidèle, toute traduction moderne des livres de la Bible cherche à être une transposition fidèle et exacte des textes originaux. Un tel effort littéraire exige que le texte original soit traduit de la façon la plus fidèle et la plus exacte possible, sans omission ni ajout eu égard au contenu, et sans introduction de gloses ou de paraphrases explicatives qui n'appartiennent pas au texte sacré lui-même.

En ce qui concerne le Nom sacré de Dieu lui-même, les traducteurs doivent le traiter avec grande fidélité et de manière extrêmement respectueuse. En particulier, comme l'affirme l'Instruction «Pour la correcte application de la constitution sur La sainte liturgie» (Liturgicam authenticam, n° 41)2:

[…] en se conformant à une tradition immémoriale, évidente déjà dans […] la version des Septante, le nom du Dieu tout-puissant, exprimé en hébreu dans le tétragramme, et traduit en latin par le mot Dominus, doit être rendu dans chaque langue vernaculaire par un mot de même signification. [(...) iuxta traditionem ab immemorabili receptam, immo in (…) versione «LXX virorum» iam perspicuam, nomen Dei omnipotentis, sacro tetragrammate hebraice expressum, latine vocabulo «Dominus» in quavis lingua populari vocabulo quodam eiusdem significationis reddatur.]

Une norme aussi claire n'a pas empêché ces dernières années l'introduction d'une pratique nouvelle, la prononciation du nom propre du Dieu d'Israël, connu comme le saint ou divin tétragramme, formé de quatre consonnes de l'alphabet hébraïque,(YHWH). On le vocalise de différentes façons, aussi bien dans la lecture des textes bibliques tirés du Lectionnaire, que dans l'utilisation de prières et d'hymnes, ce qui donne plusieurs variantes écrites ou orales telles que: «Yahweh», «Yahvé», «Jahwè», «Javé», «Jéhovah», etc. La présente lettre vise donc à établir certains faits essentiels, sous-jacents à la norme sus-mentionnée, et à poser certaines directives qui doivent être observées en cette matière.

2) La vénérable tradition des Saintes Écritures, appelée Ancien Testament, emploie une série d'appellations divines, parmi lesquelles le nom sacré de Dieu, révélé comme le tétragramme(YHWH). Tenu pour une expression de la grandeur et de la majesté infinies de Dieu, il était considéré comme imprononçable, et on le remplaçait donc, pendant la lecture des Saintes Écritures, par un nom substitutif, Adonai, qui signifie «Seigneur».

La traduction grecque de l'Ancien Testament, appelée la Septante, qui remonte aux derniers siècles avant l'ère chrétienne, rendait régulièrement le tétragramme hébraïque par le terme grec Kyrios, qui signifie «Seigneur». Comme la Septante constituait la Bible de la première génération de chrétiens parlant le grec, langue dans laquelle ont été rédigés tous les livres du Nouveau Testament, ces chrétiens, depuis le début, n'ont jamais prononcé non plus le tétragramme divin. Un phénomène semblable s'est produit chez les chrétiens de langue latine, dont la littérature a commencé à émerger à partir du deuxième siècle, comme l'attestent d'abord la Vetus Latina, et, plus tard, la Vulgate de saint Jérôme: dans ces traductions également, le tétragramme a été remplacé par le mot latin «Dominus», qui correspondait à la fois à l'Adonai hébreu et au Kyriosgrec. La même démarche prévaut dans la version latine récente, la Néo-Vulgate, que l'Église utilise pour sa liturgie.

Ce fait a eu des incidences importantes pour la christologie même du Nouveau Testament. Lorsque saint Paul écrit, eu égard à la crucifixion, «Aussi Dieu l'a-t-il exalté et lui a-t-il donné le Nom qui est au-dessus de tout nom» (Philippiens 2,9), il ne réfère à aucun autre nom que celui de «Seigneur», puisqu'il poursuit en disant «et que toute langue proclame, de Jésus-Christ, qu'il est Seigneur» (Philippiens 2,11). L'attribution de ce titre au Christ ressuscité correspond exactement à la proclamation de sa divinité. De fait, ce titre devient interchangeable entre le Dieu d'Israël et le Messie de la foi chrétienne, même si, en fait, il ne s'agit pas de l'un des titres utilisés pour le Messie d'Israël. Au sens strictement théologique, le titre se trouve déjà, par exemple, dans le premier Évangile canonique (voir Matthieu 1,20: «L'ange du Seigneur apparut à Joseph en songe.») et il semble être la règle en usage pour toutes les citations de l'Ancien Testament dans le Nouveau (voir Actes 2,20: «Le soleil se changera en ténèbres … avant que vienne le Jour du Seigneur» [Joël 3,4]; 1 Pierre 1,25: «La Parole du Seigneur demeure pour l'éternité» [Is 40. 8]). En ce qui a trait au sens proprement christologique, en dehors du texte de Philippiens 2,9-11 déjà cité, nous pouvons encore évoquer Romains 10,9 («si tes lèvres confessent que Jésus est Seigneur et si ton cœur croit que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé»), 1 Corinthiens 2,8 («s'ils l'avaient connue, ils n'auraient pas crucifié le Seigneur de gloire»), 1 Corinthiens 12,3 («nul ne peut dire 'Jésus est Seigneur', si ce n'est sous l'action de l'Esprit Saint») et la formule fréquente à propos du chrétien qui vit «dans le Seigneur» (Romains 16,2; 1 Corinthiens 7,22; 1 Thessaloniciens 3,8; etc.).

3) La pratique d'éviter de prononcer le tétragramme du nom de Dieu dans l'Église a donc ses fondements. Elle est motivée non seulement par un argument d'ordre purement philologique, mais aussi par une volonté de demeurer fidèle à la tradition ecclésiale qui, depuis les origines, veut que le tétragramme sacré ne soit jamais prononcé en contexte chrétien ni traduit dans aucune des langues de traduction de la Bible.

II – Directives

À la lumière de ce qui vient d'être exposé, les directives suivantes devront être observées:

Dans les célébrations liturgiques, dans les chants et les prières, le nom de Dieu ne doit être ni employé ni prononcé sous la forme du tétragramme YHWH.
Pour la traduction du texte biblique en langues modernes en vue de leur usage liturgique dans l'Église, ce qui est déjà prescrit par la disposition n° 41 de l'Instruction «Pour la correcte application de la constitution sur La sainte liturgie» doit être observé; c'est-à-dire que le tétragramme divin doit être rendu par les équivalents des termes Adonai/Kyrios: «Seigneur», «Lord», «Signore», «Herr», «Señor», etc.
Lorsque l'on traduit, dans un contexte liturgique, des textes où se trouvent, dans cet ordre, le terme hébraïque Adonai ou le tétragramme YHWH, il faut traduire Adonai par «Seigneur» et le tétragramme YHWH par «Dieu», comme cela est le cas dans la traduction grecque des Septante et dans la traduction latine de la Vulgate.
De la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, le 29 juin 2008.

+ Cardinal Francis Arinze, Préfet


+ Albert Malcolm Ranjith, Archevêque secrétaire


Traduction (non officielle) de P. Lambert révisée par J. Duhaime pour jcrelations.net.
Le texte français de cette instruction est disponible sur le site du Vatican à l'adresse suivante:
http://www.vatican.va/roman_curia/congregations/ccdds/documents/rc_con_ccdds_doc_20010507_liturgiam-authenticam_fr.html
2008-10-01


Dernière édition par NIKOLAJ le Lun 14 Mar - 10:19, édité 1 fois (Raison : grandeur caractères)

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LE «NOM DE DIEU» DANS LA LITURGIE CATHOLIQUE ROMAINE Empty Re: LE «NOM DE DIEU» DANS LA LITURGIE CATHOLIQUE ROMAINE

Message par Auteur du site Ven 25 Mar - 20:34

---JC a déclaré ceci:***(Luc 11:2) [...] que ton nom soit sanctifié. [...]***
---bientôt le nom divin sera aux oubliettes dans l'église catholique romaine...quelle honte et ignominie!!!

/*/(2 Corinthiens 11:13-15) [...] Car de tels hommes sont de faux apôtres, des ouvriers trompeurs, qui se transforment en apôtres de Christ. 14 Et rien d’étonnant, car Satan lui-même se transforme toujours en ange de lumière. 15 Ce n’est donc pas extraordinaire si ses ministres aussi se transforment toujours en ministres de justice. Mais leur fin sera selon leurs œuvres./*/


Dernière édition par NIKOLAJ TJ/TJC le Mar 4 Déc - 11:56, édité 1 fois (Raison : compléments bibliques)
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Message par Auteur du site Lun 3 Déc - 23:05

CEUX QUI LUTTENT CONTRE LA BIBLE: ET CEUX QUI LA DÉFENDENT :

--- Contenu d’un document conservé à la bibliothèque nationale de Paris, lequel contient certains conseils que les cardinaux donnèrent au pape Jules III à son élection en 1550 :

**La lecture de l’Evangile ne doit être permise que le moins possible, surtout en langue moderne et dans les pays soumis à votre autorité. Le très peu qui est lu généralement à la messe devrait suffire, et il faudrait défendre à quiconque d’en lire plus ! Tant que le peuple se contentera de ce peu, vos intérêts prospèreront, mais dès l’instant qu’on voudra en lire plus, vos intérêts commenceront à en souffrir. Voila le livre qui, plus qu’aucun autre, provoquera contre nous les rébellions, les tempêtes qui ont risqué de nous perdre. En effet, quiconque examine diligemment l’enseignement de la Bible et le compare à ce qui se passe dans nos Eglises trouvera bien vite les contradictions et verra que nos enseignements s’écartent souvent de celui de la Bible, et, plus souvent encore, s’opposent à celle-ci. Si le peuple se rend compte de ceci, il nous provoquera jusqu’à ce que tout soit révélé et alors nous deviendrons l’objet de la dérision et de la haine Universelles. Il est donc nécessaire que la Bible soit enlevée et dérobée des mains du peuple avec zèle, toutefois sans provoquer de tumulte. **

(Feuille bibliothèque nationale [1089] –volume II-page C41-650-références Fond Latin n° 12558-Année 1550.)

https://www.youtube.com/watch?v=CcZpKSYbI9c

((Cette vidéo n'est plus disponible, car le compte YouTube associé a été clôturé.))

Ce document accable les manières d’agir passées et présentes dans la chrétienté, mais la bible déclare :

Cf. *** (1 Pierre 1:24-2:3) [...] “ toute chair est comme de l’herbe, et toute sa gloire est comme une fleur d’herbe ; l’herbe se dessèche et la fleur tombe, 25 mais LA PAROLE DE JEHOVAH SUBSISTE POUR TOUJOURS”. Eh bien, c’est ici la “ parole ”, celle qui vous a été annoncée comme une bonne nouvelle. 2 Rejetez donc toute méchanceté et toute tromperie, ainsi que l’hypocrisie et l’envie et toutes les formes de médisance, 2 [et,] comme des enfants nouveau-nés, ayez un ardent désir pour le lait non frelaté de la parole, pour que grâce à lui vous grandissiez pour le salut, 3 pourvu que vous ayez goûté que le Seigneur est bon. ***

Cf. *** (2 Thessaloniciens 2:11-12) [...] Dieu laisse aller vers eux une opération d’égarement, pour qu’ils se mettent à croire au mensonge, 12 afin qu’ils soient tous jugés parce qu’ils n’ont pas cru à la vérité, mais ont pris plaisir à l’injustice. ***

---Les chrétiens Témoignant pour YHWH (TJ) et Témoignant pour JC (TJ/TJC) défendent les saintes écritures, et vous ?---qui et que défendez-vous ?
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Message par Auteur du site Sam 8 Déc - 8:31

/*/(Marc 8:38) 38 Car celui qui prend honte de moi et de mes paroles dans cette génération adultère et pécheresse, le Fils de l’homme aussi aura honte de lui quand il arrivera dans la gloire de son Père avec les saints anges. ”/*/

---selon les paroles de JC, la honte s'est donc installée dans la chrétienté qui renie le NOM de YAHAWAH-DIEU!!!

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Message par Auteur du site Ven 15 Mar - 9:24

---le nouveau pape,en 2013, rétablira-t-il honnêtement l'usage et la prononciation franche du nom de YHWH au sein de l'église catholique romaine?

---peut-être, douteux, probalement,jamais, cela ne se fera aucunement pour conforter cette église dans un état d'apostasies réccurentes...car cette église déshonore JC et YHWH, son Père...
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LE «NOM DE DIEU» DANS LA LITURGIE CATHOLIQUE ROMAINE Empty Re: LE «NOM DE DIEU» DANS LA LITURGIE CATHOLIQUE ROMAINE

Message par Auteur du site Jeu 17 Oct - 9:18

---le nom Divin de Yahawah sera-t-il réintroduit respectueusement dans la nouvelle édition de la bible catholique en octobre/novembre 2013 ? à voir...


/*/bible : bien ou mal traduite = doctrines exactes ou obscurcies

*** ms p. 189 Enfer ***
Le véritable sens du mot “enfer” a été obscurci par les traducteurs qui n’ont pas su établir de distinction entre les termes utilisés dans les textes originaux
“Le fait que les premiers traducteurs de la Bible ont invariablement rendu par enfer le mot hébreu Schéol et les termes grecs Hadès et Géhenne, a été cause d’une grande confusion et d’interprétations erronées. La simple transcription de ces mots, par les traducteurs des éditions révisées de la Bible, n’a pas suffi à dissiper la confusion et les fausses conceptions.” — The Encyclopedia Americana (New York, 1942), tome XIV, p. 81.

*** sh chap. 13 p. 310-311 La Réforme: Un nouveau tournant dans la recherche ***
Protestations au sein de l’Église
9 Souvent appelé “l’étoile de la Réforme”, John Wycliffe (1330?-1384) était prêtre catholique et professeur de théologie à Oxford, en Angleterre. Bien au courant des abus perpétrés dans l’Église, il écrivit et prêcha par exemple contre la corruption dans les ordres monastiques, contre les taxes papales, contre la doctrine de la transsubstantiation (selon laquelle le pain et le vin utilisés lors de la messe se changent littéralement en le corps et le sang de Jésus Christ), contre la confession et l’ingérence de l’Église dans les affaires temporelles.
10 Wycliffe se montra particulièrement virulent quand il s’en prit à la négligence de l’Église à enseigner la Bible. Il déclara un jour: “Plût à Dieu que chaque paroisse de ce pays ait une bonne Bible et de bonnes interprétations de l’évangile, que les prêtres les étudient assidûment, et qu’ils enseignent vraiment l’évangile et les commandements de Dieu au peuple!” À cette fin, Wycliffe entreprit dans les dernières années de sa vie de traduire en anglais la Vulgate, la Bible latine. Aidé de ses associés, notamment de Nicolas de Hereford, il produisit la première Bible complète en langue anglaise. Incontestablement, ce fut là le plus grand apport de Wycliffe à la recherche que menaient les hommes pour trouver Dieu.

*** kc p. 187 Appendice du chapitre 14 ***
Les chrétiens qui croient à la Bible ont constaté maintes et maintes fois qu’elle passe victorieusement les épreuves auxquelles la soumet la critique et qu’elle se révèle exacte et digne de foi. Ils croient que la Bible, qui est la Parole inspirée de Dieu, peut servir à dater les événements historiques et à apprécier les interprétations de ceux-ci (II Timothée 3:16, 17). Par exemple, alors que la Bible parlait de Belschazzar comme du roi de Babylone, pendant des siècles les savants furent très perplexes à son sujet, parce qu’ils ne disposaient d’aucun document profane pour confirmer son existence, son identité ou sa fonction. Mais les archéologues découvrirent finalement des inscriptions qui confirmaient la Bible. Ainsi, l’harmonie interne de celle-ci et le soin extrême avec lequel elle a été rédigée, notamment pour ce qui est des renseignements d’ordre chronologique, sont tels que le chrétien accorde une plus grande autorité à la Bible qu’à l’opinion changeante des historiens.

*** jv chap. 31 p. 708-709 Comment Dieu les choisit et les guide ***
Comment Jéhovah guide son peuple
Ceux qui forment la vraie congrégation chrétienne aujourd’hui ne reçoivent pas de révélations de la part des anges ni ne sont inspirés par Dieu. Cependant, ils disposent des Saintes Écritures inspirées, qui contiennent des révélations sur la pensée et la volonté de Dieu. En tant qu’organisation, aussi bien qu’individuellement, ils doivent accepter la Bible comme la vérité divine, l’étudier assidûment et la laisser agir sur eux (1 Théssaloniciens. 2:13). Mais comment parviennent-ils à une intelligence exacte de la Parole de Dieu?
La Bible elle-même déclare: “Les interprétations n’appartiennent-elles pas à Dieu?” (Genèse 40:8). Si dans leur étude des Écritures ils rencontrent un passage difficile à comprendre, les chrétiens doivent rechercher d’autres passages inspirés qui éclaireront le sujet. Ainsi, ils laissent la Bible s’interpréter par elle-même et, de cette façon, ils s’efforcent de comprendre “le modèle” des vérités exposées dans la Parole de Dieu (2 Timothée 1:13). Par son esprit, Jéhovah les dirige ou les guide pour qu’ils acquièrent cette compréhension. Seulement, pour bénéficier de la direction de cet esprit, il leur faut cultiver son fruit, ne pas le peiner ou agir contre lui, et demeurer réceptifs à sa force d’impulsion (Galates 5:22, 23, 25; Éphésiens 4:30). En outre, en appliquant avec zèle ce qu’ils apprennent, ils fortifient sans cesse leur foi. Grâce à elle, ils comprennent de mieux en mieux comment ils doivent faire la volonté de Dieu dans un monde dont ils ne font pas partie. — Luc 17:5; Philippiens 1:9, 10.
Jéhovah a toujours guidé son peuple vers une plus grande intelligence de sa volonté (Psaumes 43:3). La manière dont il s’y est pris pourrait s’illustrer comme suit: si une personne est restée dans une pièce sombre pendant longtemps, n’est-il pas préférable de l’exposer à la lumière petit à petit? C’est ainsi que Jéhovah a exposé son peuple à la lumière de la vérité; il l’a éclairé progressivement (voir Jean 16:12, 13). Cela s’est passé comme le dit le proverbe: “Le sentier des justes est comme la lumière brillante qui devient de plus en plus claire jusqu’à ce que le jour soit solidement établi.” — Proverbes 4:18.
La façon dont Jéhovah s’y est pris avec ses serviteurs élus des temps bibliques confirme que la claire intelligence de sa volonté et de ses desseins vient souvent petit à petit. Ainsi, Abraham n’a pas pleinement compris comment le projet de Jéhovah relatif à la “postérité” allait s’accomplir (Genèse 12:1-3, 7; 15:2-4; voir aussi Hébreux 11:8). Daniel n’a pas saisi l’issue finale des prophéties qu’il a consignées (Daniel 12:8, 9). Lorsqu’il était sur terre, Jésus a reconnu qu’il ne connaissait ni le jour ni l’heure de la fin de l’actuel système de choses (Matthieu 24:36). Au début, les apôtres n’ont pas compris que le Royaume de Jésus serait céleste, qu’il ne serait pas établi au Ier siècle et que même des Gentils pourraient en hériter. — Luc 19:11; Actes 1:6, 7; 10:9-16, 34, 35; 2 Timothée 4:18; Révélation 5:9, 10.
Le fait qu’à notre époque moderne aussi Jéhovah ait souvent guidé ses serviteurs à la manière d’une organisation en marche, en leur faisant comprendre les vérités bibliques petit à petit, ne devrait donc pas nous surprendre. Ce ne sont pas les vérités elles-mêmes qui changent. La vérité reste la vérité. La volonté et le dessein de Jéhovah, tels qu’ils sont exposés dans la Bible, demeurent inchangés (Ésaïe 46:10). Cependant, l’intelligence de ces vérités devient progressivement de plus en plus claire “en temps voulu”, au temps fixé par Jéhovah (Matthieu 24:45; voir Daniel 12:4, 9). Parfois, à cause d’erreurs humaines ou d’un zèle excessif, ses serviteurs ont dû rectifier leur point de vue.
Par exemple, à différentes époques de l’histoire moderne des Témoins de Jéhovah, leur zèle et leur enthousiasme à défendre la souveraineté de Jéhovah les ont amenés à anticiper la date de la fin du système de choses satanique (Ézéchiel 38:21-23). Toutefois, Jéhovah n’en a pas révélé à l’avance le moment exact (Actes 1:7). De ce fait, [[des dirigeants parmi ]] son peuple a [[ont]] dû rectifier son [[leur]] point de vue sur cette question.
Ces rectifications ne signifient pas que le dessein de Dieu a changé. Cela ne laisse pas non plus entendre que la fin du système de choses est nécessairement pour un avenir très lointain. Au contraire, l’accomplissement des prophéties bibliques relatives à “la conclusion du système de choses” confirme que la fin est proche (Matthieu 24:3). Le fait que les Témoins de Jéhovah aient parfois anticipé veut-il dire qu’ils ne sont pas guidés par Dieu? Pas plus que la question des disciples à propos de l’imminence de la venue du Royaume à leur époque ne signifiait qu’ils n’étaient pas choisis et guidés par Dieu! — Actes 1:6; voir aussi Actes 2:47; 6:7.
Pourquoi les Témoins de Jéhovah sont-ils si sûrs de détenir la vraie religion? Parce qu’ils croient et acceptent ce que dit la Bible à propos de la marque distinctive des vrais adorateurs. Comme le montrent les précédents chapitres, leur histoire moderne révèle que, non seulement à titre individuel, mais en tant qu’organisation, ils font ce qui est requis: ils défendent fidèlement la Bible [[voir deutéronome 4:2 et versets annexes ]] qu’ils reconnaissent comme la Parole sacrée de Dieu qui est vérité (Jean 17:17); ils se tiennent complètement séparés des affaires du monde (Jacques 1:27; 4:4); ils rendent témoignage au nom divin, Jéhovah, et proclament le Royaume de Dieu comme le seul espoir de l’humanité (Matthieu 6:9; 24:14; Jean 17:26); et ils ont un amour sincère les uns pour les autres. — Jean 13:34, 35.

*** gm chap. 4 p. 52-53 § 30-31 L’“Ancien Testament” — Peut-on y croire? ***
si l’archéologie peut se révéler très utile, elle est tout aussi faillible que n’importe quelle autre branche de l’activité humaine. Par conséquent, même si nous nous intéressons aux théories archéologiques, nous ne devrions jamais en faire des vérités absolues. Il ne faut donc pas systématiquement récuser la Bible et donner raison aux archéologues quand leurs interprétations la contredisent. Ne sont-ils pas bien des fois revenus sur leurs explications?
31 On notera qu’en 1981 le professeur John Bimson s’est à son tour penché sur la destruction de Jéricho. Il a soigneusement étudié les traces de l’incendie qui — selon Kathleen Kenyon — aurait ravagé la ville au milieu du XVIe siècle avant notre ère. D’après ses observations, cette destruction correspond au récit biblique de Josué. Mieux, le tableau général que l’archéologie brosse de Canaan cadre parfaitement avec la description que la Bible fait du pays au moment de son invasion par les Israélites. En foi de quoi, Bimson estime erronée la datation précédente et avance l’hypothèse que Jéricho a en réalité été détruite au milieu du XVe siècle avant notre ère, du vivant de Josué21.

*** bf chap. 1 p. 8 Un mystère à élucider ***
L’explication de ce que Babylone symbolise a donné lieu à d’intéressantes interprétations, dont l’une des plus récentes identifie la Babylone mentionnée dans le dernier livre de la Bible “non à une puissance militaire conquérante, comme chez les prophètes [bibliques] antérieurs, mais à l’incarnation du luxe et de la civilisation matérielle. C’est la grande prostituée dont les charmes séduisent toutes les nations de la terre ; c’est le marché mondial dont le commerce enrichit les marchands et les armateurs”.
Le dernier livre de la Bible nous fournit quantité d’indications nous aidant à identifier cette “prostituée” internationale, mais ces indications sont prophétiques. Aussi, pour connaître avec exactitude l’identité de la Babylone prédite, il nous faut consulter les pages de l’Histoire et lire les prophéties de la Bible à la lumière des faits historiques correspondants. En procédant de la sorte, nous serons sûrs de trouver l’interprétation que Dieu donne lui-même du mystère babylonien qu’il fit mentionner dans la Bible.

---ce ne sont que quelques exemples...


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LE «NOM DE DIEU» DANS LA LITURGIE CATHOLIQUE ROMAINE Empty Re: LE «NOM DE DIEU» DANS LA LITURGIE CATHOLIQUE ROMAINE

Message par Auteur du site Lun 11 Nov - 16:33

Jéhovah  une version catholique du nom de Dieu

Source:

http://patriotismedeclocher.wordpress.com/tag/jehova/



lien et sujet plus disponible sur le web par retrait de l'auteur du sujet.
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LE «NOM DE DIEU» DANS LA LITURGIE CATHOLIQUE ROMAINE Empty le nom de Dieu dans LA LITURGIE CATHOLIQUE ROMAINE

Message par Invité Lun 3 Fév - 14:23

bonjour
je vous transmet un document ou une adresse ,ou vous pourrez vraiment avoir le point de vue de l'église catholique ,(pas le mien)
il s'agit de l’encyclopédie original catholique ...(la/les références touchant tous ce qui les concernent)
http://oce.catholic.com/index.php?title=Jehovah

il faut une fois sur le site anglais le mettre en français ...si on veut!


Dernière édition par etudiant tj/tjc le Lun 3 Nov - 4:12, édité 3 fois (Raison : orthographe du sous titre.suppression de l'image spam de site hacker ?)

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LE «NOM DE DIEU» DANS LA LITURGIE CATHOLIQUE ROMAINE Empty Re: LE «NOM DE DIEU» DANS LA LITURGIE CATHOLIQUE ROMAINE

Message par Auteur du site Lun 3 Fév - 20:55

merci pour tes recherches utiles.
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LE «NOM DE DIEU» DANS LA LITURGIE CATHOLIQUE ROMAINE Empty Re: LE «NOM DE DIEU» DANS LA LITURGIE CATHOLIQUE ROMAINE

Message par etudiant tj/tjc Jeu 15 Mai - 7:09

Auteur du site a écrit:Jéhovah  une version catholique du nom de Dieu

Source:

http://patriotismedeclocher.wordpress.com/tag/jehova/


le sujet a été supprimé sur le web, par le lien cité, mais si certains ont téléchargé son contenu, merci de le publier en copie intégrale, pour infos.
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Message par etudiant tj/tjc Lun 26 Mai - 6:38

reportage de la Source originale :

http://patriotismedeclocher.wordpress.com/tag/jehova/

§ Jéhovah : une version catholique du nom de Dieu
Publié le 19 octobre 2012
Il est très dommage que le nom Jéhovah soit aujourd’hui associé, dans l’esprit de nombreuses personnes, à une secte protestante anticatholique. Ce que les Témoins de Jéhovah et leur société Watch Tower ne vous diront jamais, c’est que le nom qu’ils se sont illégitimement approprié en 1931 est en réalité une latinisation catholique du nom propre de Dieu vieille de plus de 700 ans.

Le nom propre de Dieu apparaît dans l’ancien testament sous la forme du tétragramme יהוה. Sa prononciation a été oubliée au cours des 2e et 3e siècles avant Jésus-Christ car les juifs rendant leur culte dans le second Temple de Jérusalem avait pris l’habitude de ne plus prononcer le nom de Dieu. Chaque fois que le tétragramme apparaissait dans la portion du texte de la Bible à lire publiquement dans la synagogue ou dans le Temple, le lecteur prononçait le mot אדני (adonaï, « maître » ou            « seigneur ») au lieu de prononcer le nom de Dieu (יהוה).

Afin de s’assurer que le lecteur ne prononcerait pas accidentellement יהוה au cours de la liturgie, on copia, dans un premier temps, les marques de vocalisation du mot adonaï (dont la forme vocalisée est אֲדֹנָי) sur le tétragramme. Néanmoins, les lecteurs inexpérimentés commettaient parfois l’erreur de prononcer la première partie du tétragramme (יה) avec la première marque de vocalisation de adonaï ce qui résultait dans la prononciation accidentelle de la contraction du nom de Dieu — Iah (ou Jah) que l’on retrouve dans le mot « Alleluia » (ou « Hallelujah ») chanté lors de la sainte Messe catholique. Afin de remédier à ces accidents, on modifia la vocalisation de la première syllabe en remplaçant la voyelle a par la voyelle é. C’est ainsi que l’on vint à écrire le tétragramme assorti des voyelles é-o-a (יְהֹוָה) dans les manuscrits hébreux massorétiques plutôt qu’assorti des voyelles d’origine d’adonaï, a-o-a.

Afin de transcrire ce tétragramme dans notre langue, il faut attribuer à chacune de ces lettres hébraïques une lettre de l’alphabet latin comme suit :

la lettre hébraïque י correspond aux lettres latines I, J ou Y ;
la lettre hébraïque ה correspond à la lettre latine H ;
la lettre hébraïque ו correspond aux lettres latines U, V ou W.
Jehova Pugio Fidei Raymond Martin (Image de Pvasiliadis/Wikipedia)
La forme latine "Jehova" du tétragramme apparaît pour la première fois dans le livre Pugio Fidei adversus Mauros et Judaeos du dominicain Raymond Martin (Raymundus Martini).

Le premier à avoir effectué la latinisation du nom de Dieu était le frère dominicain et théologien Raymond Martin. C’est dans son œuvre Pugio Fidei (1278 après Jésus-Christ) que figure pour la première fois le nom de Dieu écrit en lettres latines sous la forme Jehova.

Les lettres I et J étaient indistinctes avant 1524, le J n’étant qu’une forme stylisée du I. Quant à la lettre Y, il s’agit d’un ajout tardif à partir de l’alphabet grec pour en noter des mots d’emprunt. Le tétragramme étant un ancien nom hébreu, il est plus approprié de latiniser sa première lettre en utilisant la lettre latine I/J plutôt qu’en utilisant la lettre grecque Y.

Les lettres U et V étaient indistinctes et interchangeables avant le milieu du XVIe siècle. Quant à la lettre W, il s’agit d’une ancienne ligature du Moyen Âge unissant deux V (d’où le nom en français, double v) ou de deux U. L’avant-dernière lettre du tétragramme n’étant pas double, il est plus approprié de la latiniser en utilisant la lettre latine simple U/V.

En 1428 après Jésus-Christ, le cardinal Nicolas de Cues proposa les latinisations voisines Ieoa, Iehoua, Iehova et Ihehoua. Véritablement, la latinisation du tétragramme יהוה en Jéhovah est le résultat des travaux du dominicain Raymond Martin et du cardinal Nicolas de Cues. Plus récemment, Jéhovah fut utilisé par l’abbé Augustin Crampon, chanoine de la cathédrale d’Amiens, dans sa traduction française de la Bible (édition de 1904).

Bien que préférant la forme latine Jéhovah à la forme Yahweh, dérivée d’un contexte hellénique, nous considérons cette dernière comme étant aussi catholique que la première. Néanmoins, nous utiliserons abondamment la latinisation Jéhovah sur ce site, d’une part, pour ses qualités esthétiques latines et, d’autre part, afin de manifester notre désir de voir les catholiques se réapproprier cette forme qui leur a été dérobée par les disciples de la société Watch Tower. Remarquons que les Témoins de Jéhovah n’utilisent cette forme du nom divin qu’à cause de l’influence qu’a eu le protestant évangélique Jean Darby sur leur mouvement.

Oui, chers amis, réapproprions-nous l’utilisation de la forme Jéhovah qui est, avant tout, une version catholique du nom divin ! §

http://patriotismedeclocher.wordpress.c ... m-de-dieu/

((Sur ce site, le post a été supprimé, mais copié par des internautes)).


Dernière édition par etudiant tj/tjc le Mar 21 Oct - 19:03, édité 1 fois (Raison : compléments d'objet précisions particulières)
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Message par etudiant tj/tjc Lun 23 Mar - 23:41

donc, si des dirigeants catholiques suppriment l'usage du nom Divin de Jéhovah, ou Yahwéh, et ordonnent qu'il en soit ainsi,  sont-ils coupables, selon Deutéronome 4:2, et d'autres parties de la bible,  d'apocryphes, d'apostasies relativement à YHWH ?
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